Matthieu Boissavy pratique en tant qu'avocat la défense pénale, et comme avocat ou médiateur ou arbitre la résolution des contentieux, de manière amiable ou juridictionnelle. Il agit selon une approche pluridisciplinaire des conflits qui prend en compte le droit, l’argumentation et les sciences comportementales.

Il applique les principes de la pensée créative pour trouver des solutions efficaces à des problèmes juridiques et des litiges complexes.Il intervient principalement en droit pénal et droit disciplinaire, droit des arts et des médias, compliance et droits humains.
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Il assiste et défend des personnes physiques ou morales, des États ou des collectivités publiques pour la défense de leurs droits et intérêts dans des situations de crise et de litiges. En demande ou en défense, aux côtés de parties civiles, de prévenus ou d’accusés dans des procès de droit pénal général, droit pénal des affaires, droit pénal de l’art, d’infractions de presse (diffamation, injures, atteinte à la vie privée …), de procédures en contrefaçon, responsabilité délictuelle ou contractuelle ou en droit du marché de l’art.

Il développe également une expertise sur le sujet du respect des droits humains et de l’environnement dans les entreprises dans le cadre du devoir de vigilance.

Lorsqu’il n’est pas mandaté comme avocat, il est désigné comme médiateur ou arbitre.

Formé en France au système juridique de droit continental et aux Etats-Unis à celui de la common law il défend des clients dans des contentieux internationaux, notamment en droit pénal international ou des actions en restitution de biens culturels.
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En tant que médiateur, il intervient dans des litiges entre titulaires de droits de propriété intellectuelle notamment dans le secteur de l’édition, de la production audiovisuelle et des spectacles, entre les artistes et acteurs du marché de l’art ou entre associés de sociétés commerciales ou associations.

‍Formateur et conférencier, il donne des présentations, conférences et formations en droit pénal et procédure pénale, droit des médias, propriété intellectuelle, droit de l’art, déontologie de l’avocat, rhétorique et pratique de l’art oratoire, advocacy, négociation et médiation.

Il est investi dans la vie du barreau pour la défense de la profession d’avocat. Élu par ses pairs en 2017 membre du Conseil de l’Ordre du Barreau de Paris jusqu’en 2019 puis, en 2020, membre du Conseil national des barreaux pour la mandature 2021-2023, il a été notamment en charge en tant que vice-président de la commission Libertés et droits de l’homme du CNB des sujets de droit pénal et de libertés publiques. Dans le cadre de ses mandats ordinaux il a développé une expertise sur les sujets de la liberté d’expression de l’avocat, du secret professionnel de l’avocat dans le cadre des perquisitions et saisies, de l’éthique et de la déontologie de la défense, des relations entre avocats et magistrats. Il a participé aux travaux du Conseil consultatif conjoint de déontologie de la relation magistrats-avocats.

Il est auteur de plusieurs articles sur des sujets juridiques, de la profession d’avocat et sur la justice. Il a participé comme auteur à la rédaction de trois ouvrages, Influencer la démocratie, démocratiser l’influence (2004) ; Reconstruire la justice (2006) ; Manifeste pour la justice (2011).

- Avocat au Barreau de Paris, 1993
- Attorney-at-Law au Barreau de New York, 1999
- Médiateur CNMA, agréé auprès de la Cour d’appel de Paris
- Ancien membre du Conseil national des barreaux (2021 – 2023)
- Ancien membre du Conseil de l’Ordre du Barreau de Paris (2017 – 2019)
- 11ème Secrétaire de la Conférence du barreau de Paris, 1995
- New York University School of Law, Master of Comparative Jurisprudence (Fulbright Scholar)
- Académie de Droit International de La Haye, SP Droit International Privé
- Paris X-Université, DEA Droit Privé – DESS Droit du Commerce International

Membre d’Avocats Ensemble (ACE), de l’Union Internationale des Avocats, de l’American Bar Association, de New York City Bar Association, de l’Association des Médiateurs du Barreau (AME), de l’Association des Avocats Pénalistes (ADAP), du Cercle K2.